Les « solutions » à la crise ?
- Plans de relance ?
- Milliards qui valsent ?
- Système prédateur alimenté encore et encore pour repartir vers les mêmes errements ?
Et au bout, quoi ?
- des inégalités vertigineuses,
- des dégâts sociaux et environnementaux incommensurables,
- une planète invivable pour nos enfants.
Pour sortir de la crise, décolonisons notre imaginaire !
Non, ce n’est pas en restant dans ce “toujours plus”, qui est à la racine de nos sociétés capitalistes, que nous pourrons y parvenir.
Non, la croissance n’est pas la solution. Elle est le problème.
Une croissance infinie n’est pas possible dans un monde fini !
« La haute nécessité est de tenter tout de suite de jeter les bases d’une société non économique, où l’idée de développement à croissance continuelle serait écartée au profit de celle d’épanouissement ; où emploi, salaire, consommation et production seraient des lieux de création de soi et de parachèvement de l’humain. », écrivent les neuf intellectuels antillais dans leur Manifeste
Ce dont nous ne voulons plus c’est d’une société où nous sommes
- ravalés à l’unique rôle
- d’« agents économiques »,
- asservis à la production et à la consommation,
- bons à pressurer puis à jeter.
Ce dont nous avons besoin, c’est d’une société
- de l’« être », plus que de l’« avoir ».
- de solidarité et d’équité,
- où nous ne gaspillerions pas ce qui peut manquer à d’autres peuples ou aux générations futures,
- où nous pourrions produire moins pour vivre mieux,
- avec plus de liens et moins de biens.
Télécharger le tract PPLD recto-verso mis en page contenant le communiqué de presse
Communiqué de presse à propos de la grève du 19 mars
